La fin des temps est proche
Là où la maison se vide, et où la fin du monde est proche.
Dans l'épisode précédent... Ernesto et Pablo devenaient tant bien que mal adolescents, malgré le peu de temps et d'amour que leur porte leur imbécile de père ; Paolo a continué à m'énerver, mais j'ai été vengée par Monsieur l'Ordinateur ; et le prénom de Pénélope a atteint des sommets de popularité à Sunlet Tides !
Bref, la vie continue, chez les Leipniz. Pas difficile d'être heureux quand on est riche à millions.... Avec un "s" à millions. Il va falloir que je fasse quelque chose pour leur compliquer un peu la tâche, sinon, ce ne sera plus drôle !
Non, plus sérieusement... Un vilain bug m'empêche d'atteindre le mode "construction/achat". Même y ranger les tableaux devient une lutte difficile. Je cherche une solution, mais laquelle ?
En parlant de tableau, Ernesto s'attaque à celui de son frère. Evidement, vu les relations tendues de Paolo avec ses enfants, on ne peut guère compter sur lui pour les réaliser...
Portrait de Pablo : fini !
J'ai décidé de garder l'aîné quelques jours, pour lui faire atteindre son DLT ( il veut maîtriser les arts, et en est à deux doigts) et surtout, pôur vérifier que conformément aux ordres, et malgré ses aspirations profondes, il va bien se marier et engendrer au moins un petit Leipniz. Souvenez vous, il est réticent à s'engager, si je ne le surveille pas, il n'est pas prêt de se mettre la corde au cou...
Les seniors ? La vie continue égale à elle même. Sophie joue avec les jeux des bambins, et Paolo danse, quand il ne fait pas la fête.
Depuis qu'elle est à la retraite, Sophie s'est aussi mise à la peinture ( il faudra bien quelqu'un pour faire le portrait d'Ernesto) et passe beaucoup de temps dans son rolling chair, à regarder la mer...
Et sitôt l'anniversaire d'Heidi passé, Pablo fait sa demande. Je le force.
Et là, je le force encore.
Pourtant, Heidi n'est pas désagréable, elle a même des traits sympas : rat de bibliothèque, ultrasociable, aime la chaleur, vendeuse née et charismatique. On fait pire !
Je les installe dans une minuscule et misérable batisse presque insalubre... Dès que la petite musique a résonnée. Un nouveau petit Leipniz est en route...
Et c'est l'anniversaire d'Ernesto. Là, un novueau bug : pas de nouveau trait ! Il va rester comme il est !
Mais il est quand même giga top canon mon héros ! Je rappelle qu'il avait déjà les trait boureau de travail, excité, courageux, bienveillant et charistamtique. Cinq trait, dont un donné par le syndicat des sims populaire, manque un ! Tant pis, il fera avec ! Son DLT : devenir l'ami de vingt sims...
Ben là, il va commencer par perdre une amie, car alors que je réflechis à l'intérêt de l'envoyer à l'université, ou à l'alternative de le marier dès que Penny aura grandi, Sophie s'éteint, à 86 jours.
Ca ne traumatise pas du tout son époux. On peut même dire qu'il s'en fiche comme de sa première chaussette.
Le seul membre de sa famille dont Paolo se soucie vraiment, c'est le chien...
Mais il y a une justice dans ce monde... Paolo, luyi ne dépasseera pas les quatre vingt dix jours.
Ernesto, héritier d'une fortune colossale ( 7 800 000 simflouz, rien que ça), a déjà huit amis, une petite amie adorable, et vit désoramis seul dans une grande maison... Où est le challenge ?
Non, il faut que ça change !
Alors, croyez moi, ça va changer...